Des images produits de qualité nécessitent une approche professionnelle
“Les bonnes photos mettent l'eau à la bouche du client final.”
Le partage de données correctes via le GS1 GDSN est plus que jamais d'actualité. Des images fortes des produits offrent une vraie valeur ajoutée non négligeable. Parfois, les fournisseurs choisissent de réaliser eux-mêmes ces images, mais il est toujours bon de confier cette tâche à des professionnels spécialisés. C'est la passion de studio360 situé à Anvers. La société de Yolande Rutazibwa et Nathalie Dumortier s'est chargée de la photographie de produits pour, entre-autres, D-drinks.
studio360 est spécialisé dans la technologie numérique pour la réalisation et le montage des packshots et des vidéos de produits de manière rapide et qualitative. Ce faisant, l'entreprise suit de près les standards GS1.
"Nous le faisons en partant du principe que la standardisation dans le domaine de la photographie de produits est vraiment nécessaire", explique Nathalie Dumortier.
"Nous constatons que de nombreux producteurs trouvent qu'il est très difficile d'aborder cette question de manière cohérente. Ils considèrent également leur produit d'une manière différente de celle d'un consommateur."
"C'est pourquoi nous pensons que c'est une bonne chose que les secteurs FMCG (Fast Moving Consumer Goods), Foodservice, bricolage, jardinage et animaleries aient décidé conjointement de suivre la dernière version du standard international GS1 en 2020", résume Yolande Rutazibwa. "De cette façon, chacun peut valoriser ses produits de manière standardisée. C'est une tendance positive, d'autant plus que le type de produit ne fait aucune différence pour nous et que nous pouvons utiliser la même méthode de travail pour chaque packshot."
Accessible pour tout le monde
En plus des packshots, studio360 se concentre également sur les "hero images", les vue à 360°, la photographie de produits avec des modèles, etc. "De nombreux clients souhaitent également d'autres photos que le packshot obligatoire qui est lié à chaque fiche produit dans le secteur FMCG & Foodservice", explique Nathalie Dumortier.
"Plus la diversité des images est grande, plus le retailer et le consommateur recevront d'informations. Avec les images à 360°, le consommateur peut également zoomer sur le produit. Cela permet d'améliorer l'expérience, de faire en sorte que le client final continue à regarder le produit pendant une période plus longue et d'amener automatiquement le consommateur à considérer le producteur comme fiable. Tous ces facteurs combinés augmentent également les chances d'un achat effectif."
Même son de cloche chez D-drinks. Depuis des années, ils croient fermement au pouvoir des belles et bonnes images produits.
"Nous sommes le distributeur exclusif de boissons et de snacks naturels et disposons d'une gamme d'une trentaine de marques, qui constituent ensemble quelque 200 références", souligne Stefaan De Leenheer, responsable marketing. Certaines de ces marques sont commercialisées par l'entreprise elle-même.
"Pour ce faire, des packshots puissants du produit et de l'emballage sont absolument essentiels. Plus vous êtes transparent sur vos produits, plus le seuil d'achat de ces produits spécifiques par les consommateurs est bas."
La qualité avant tout
De plus en plus de fournisseurs ont pris conscience de l'importance de la qualité d'une photo d'un produit. "Il est donc rare que nous n'ayons à livrer qu'un packshot", ajoute Yolande Rutazibwa.
"Dans la plupart des cas, nous réalisons également une vidéo du produit, des images d'ambiance et des vues à 360°. Nous nous concertons au préalable avec le client sur les différentes positions, l'éclairage (avec ou sans effets d'ombre), le nombre de photos souhaitées, la planification de la séance photo et la livraison du matériel.
Nous estimons qu'il est essentiel que le producteur reçoive les images au plus tard 48 heures après la séance photo et puisse récupérer ses produits. Dans la plupart des cas, nous organisons la séance photo dans notre studio, mais il arrive qu'elle ait lieu dans les locaux du client. C'est notamment le cas si les produits sont trop volumineux pour être transportés ou lorsque le client veut gagner du temps et faire photographier un maximum d'articles dans un délai le plus court possible."
Stefaan De Leenheer est un fervent partisan d'images produits évocatrices. "Les packshots et autres images réalisés par des professionnels permettent de dégager une certaine atmosphère chez les consommateurs et de leur donner envie d'acheter le produit. Il y a donc un réel besoin d'aborder cet aspect qualitatif et d'y prêter une attention particulière."
Une mise en application facile
L'entreprise dispose de 4 studios équipés de manière optimale, dont 3 sont mobiles. Il est ainsi possible de photographier des produits de toutes tailles, du plus petit bijou aux objets de deux mètres. "Uniquement pour les plus grands articles, il est nécessaire que la séance photo ait lieu chez nous. Les grands dénominateurs communs sont que tout est fait selon les standards GS1 et que nous transférons les droits d'auteur, de sorte que le client devienne propriétaire des images."
studio360 livre les images en haute et basse résolution, de sorte qu'elles peuvent être utilisées pour différents canaux de communication, du site web de l'entreprise à des supports imprimés. Et ceci, donc aussi pour D-drinks qui se sert des images pour diverses utilisations.
"Nous utilisons les images en interne, pour des présentations, sur le site web et pour des brochures. Via GS1 GDSN, nous partageons des photos spécifiques avec nos principaux clients, toujours dans le respect du standard GS1. Nous le faisons à la fois pour les packshots (le produit en lui-même), les "purified pictures" (où le produit est représenté de manière purifiée, un peu plus belle et plus propre), le "hero" (avec un accent explicite sur le goût) et pour l'image où nous présentons l'emballage avec une petite quantité du produit réel."
"L'ambition est toujours de fournir une solution all-in de haute qualité, où les images sont créées et livrées selon les standards souhaitées et la désignation demandée. Cela simplifie la mise en œuvre", conclut Nathalie Dumortier.